Dominique Mette et Carole Thon
Carole Thon
Carole Thon
Dominique Mette
Expo D.Mette C.Thon

Dès ce mois de juillet, Verte Blanche accueille dans son espace,  les sculptures de Carole Thon et les œuvres de l’artiste peintre Dominique Mette.

A découvrir jusque fin septembre.

Lors de notre verre de l’amitié, nous avons eu le plaisir de présenter,  l’auteure Marie -Lazarine Poulle et son nouveau livre “Un hivers de coyote”(à retrouver en librairie).

Carole Thon
Après avoir vécu 25 ans à Paris, où elle a participé à plusieurs expositions collectives, Carole THON a posé ses valises à Vouziers.
Elle appréhende la terre dans les années 90 via des ateliers thérapeutiques, dans le cadre d’un travail personnel et d’une formation professionnelle à la psychothérapie et à la sexologie. Son fil conducteur : susciter par la représentation de l’ambivalence de genre des corps, une réflexion sur la fonction sociale de l’artiste.
Ses références : Camille Claudel et Ousmane Sow. Interroger la difficulté à exister comme femme créatrice défiant l’art institutionnel depuis la fin du XIXème siècle ; saluer la majesté et la dignité d’un art universel autour de la douleur du partir, la réalité toujours vivace de la réduction en esclavage et toujours… la tension des corps…
Son matériau de prédilection : la terre dans ce qu’elle a de noble, de vivant, de résistant et d’archaïque dans l’histoire de l’humanité.
Facebook : Ceci est ma terre https://www.facebook.com/ceciestmaterre/
Dominique Mette
C’est au début des années 1970 que Dominique Mette a commencé à peindre des fresques. Picasso vivait encore: de temps en temps, on le voyait à la télévision et il parlait à coup de portraits furieux et de minotaures hellénistiques. Ensuite de fils en pinceaux et de musées rétrospectifs, il a découvert le 17 ieme siècle de Caravage et Gréco. Il a établi des ponts entre la lumière dorée de Rembrandt, la stylisation irrésistible de Georges De La Tour et l’imagerie populaire d’Hergé, l’abstraction d’Hartung ou le morbide de Bacon.
(…)dans cette immense réserve de conceptions et d’œuvres polymorphes, il a appris à ne pas choisir, mais juste à admirer la liberté de ces artistes à leur époque… En fait, il peint pour se sentir libre… comme eux, il suppose… Il utilise des produits de consommation courante, peinture microporeuse pour salle de bain, crépis industriel, contre plaqué et pinceaux à gouache bon marché…
A découvrir également sur le parcours de Champsboultou à Boult au Bois.
(Texte issu du site Chamboultou)
Marie-Lazarine Poulle
(…)Biologiste et titulaire d’un doctorat en neurosciences (…), Marie-Lazarine s’est décidée à passer de l’observation à la narration, à oser affronter la critique, aller au bout d’un projet d’écriture et le mettre en forme. Elle espère désormais pouvoir continuer à raconter les déboires et aléas de la communication entre humains confrontés aux animaux sauvages, son inépuisable source d’inspiration et d’amusement !
“Un hivers de coyote”
Marie, jeune biologiste française, débarque au Québec pour assister Laurier, grand trappeur devant l’Éternel, dans l’étude de la prédation des coyotes en Gaspésie. Le poste est périlleux : elle qui n’a jamais conduit de motoneige, la voici projetée par -20 °C, sans autre viatique qu’un titre universitaire, dans la mal nommée baie des Chaleurs ; mais surtout, il lui faudra gagner – le plus complexe et le plus inattendu des défis – la confiance de son partenaire. Dans une nature sauvage, isolés du reste du monde, le trappeur et la biologiste vont traverser les épreuves pour goûter au bonheur d’être pleinement eux-mêmes, le temps d’un hiver.